Plein(s) Écran(s), le festival de courts métrages en ligne dévoile la programmation complète de sa 8e édition qui se tiendra du 16 au 28 janvier 2024. Avec une sélection de 40 films présentés en ligne et des événements publics rassembleurs proposés en salle, dont un nouveau programme famille, projeté dans cinq villes du Québec, le festival se présente encore une fois comme un incontournable pour découvrir des œuvres audacieuses en format court.
Pour une deuxième année, c’est l’actrice Catherine Brunet qui agira comme porte-parole du festival. Elle participera à plusieurs activités, dont la lecture de scénarios animée par Alec Pronovost. Catherine partagera également ses coups de cœur lors du premier épisode d’une série de balados avec les cinéastes participant·e·s qui sera diffusée quotidiennement.
Les cinéphiles de partout au Québec et ailleurs auront la chance de visionner quatre films par jour, disponibles pendant 24h, sur le site du festival et ses réseaux sociaux. Les 24 films québécois en compétition officielle et les 8 films de la section Impression(s) sont regroupés sous quatre thèmes qui définissent bien cette nouvelle édition : punk, doux, étonnant et méditatif. En résulte une programmation riche et accessible pour tous les publics, et toutes les humeurs!
Présenté en ouverture de la 8e édition, À mort le bikini!, un film résolument punk signé Justine Gauthier (17 janvier), lancera les festivités sur ce thème clé de Plein(s) Écran(s). Six autres films de la compétition officielle présentée sur Facebook adoptent également une démarche revendicatrice, soit Les Roteuses de Garance Chagnon-Grégoire (19 janvier), Gaby les collines de Zoé Pelchat (22 janvier), Nuit blonde de Gabrielle Demers (23 janvier), Summer Nights de Virgile Ratelle (24 janvier) et Fire-Jo-Ball d’Audrey Nantel-Gagnon (26 janvier) dont la soirée de clôture du festival sera librement inspirée.
Dans Impression(s), une section diffusée sur Instagram, on retrouve le court métrage engagé Soup is good food d’Alexandre Thériault (18 janvier) et RESTE de Ginger Le Pêcheur (25 janvier), ainsi que Y’a bon? de Marc Faye (20 janvier) et Island de Michael Faust (21 janvier) de la Carte blanche signée, cette année, par le Festival international du film d’animation d’Annecy.
Particulièrement sensibles et agréables à visionner, les festivaliers et festivalières auront la chance de découvrir les très beaux documentaires Madeleine de Raquel Sancinetti (17 janvier), Oasis de Justine Martin (19 janvier), Cherry de Laurence Gagné-Frégeau (23 janvier) et Yvon / L’éternel de Benoit Massé (25 janvier), ainsi que des fictions tout aussi touchantes telles Mamita de Luis Molinié (18 janvier), Nanitic de Carol Nguyen (24 janvier) et À la vie à l’amor d’Emilie Mannering (26 janvier), tous présentés en compétition officielle. Trois autres films appréciés pour leur caractère attendrissant sont regroupés sous ce thème, soit Son of the Sea de Abbas Jalali Yekta (20 janvier), Annah la Javanaise de Fatimah Tobing Rony (21 janvier) de la Carte blanche, et High Tail de Victoria Biste (22 janvier) présenté dans la section Impression(s).
Film d’ouverture de la section Impression(s), Médium saignant de Marie-Esther Durocher (17 janvier) donne le ton à ce troisième bloc, regroupant des films singuliers, tels que Au-delà du hors-champ d’Alex Robin (23 janvier) et Procès verbal de Matthew Wolkow (26 janvier) également présentés dans la section Impression(s), ainsi que deux films de la Carte blanche : 3 Teaspoons of Sugar de Kabelo Maaka et Dr. P. Tshepo Maaka (20 janvier) et Divare Chaharom de Mahboobeh Kalaee (21 janvier).
En compétition officielle, cinq films se démarquent pour leur proposition particulièrement étonnante, soit ELEMENT de Will Niava (18 janvier), Virga de Jean-François Leblanc (19 janvier), Les escaliers sont en papier d’Antoine Foley-Dupont (22 janvier), Agonie de Arnaud Beaudoux (24 janvier) et Simo de Aziz Zoromba (25 janvier) qui fera l’objet d’une projection commentée au Cinéma Moderne.
Des films qui incitent à la rêverie sont réunis sous ce thème méditatif. Six courts seront présentés en compétition officielle, Moi Soleil de Julien Falardeau (17 janvier), La Théorie Lauzon de Marie-Josée Saint-Pierre (18 janvier), Milikᵘ tshishutshelimunuau (Accordez-moi votre confiance) d’Isabelle Kanapé (22 janvier), Notes sur la mémoire et l’oubli de Amélie Hardy (23 janvier), 6 minutes/km de Catherine Boivin (25 janvier) et L’Atelier de Namaï Kham Po (26 janvier). Les festivaliers et festivalières pourront se complaire dans leurs pensées avec Bergen, Norvège de Alexia Roc (19 janvier) et Oskar de Max Vannienschoot (24 janvier) de la section Impression(s), en plus de Chasse Galerite de Brian Hawkins (20 janvier) et Trasiego (Shifting) d’Amanda Woolrich (21 janvier) diffusés lors du premier week-end du festival, dans la Carte blanche.
Projection commentée du court métrage Simo, en présence du réalisateur Aziz Zoromba, du directeur photo Alexandre Nour et des comédiens Seif et Basel El Rayes, présentée par L’inis (25 janvier à 19h au Cinéma Moderne).
Le 27 janvier, au terme de huit jours de compétition officielle en ligne, le public aura une dernière chance de voter pour ses films favoris parmi les 32 courts métrages québécois présentés lors de cette édition. Dès 20h, les festivaliers et festivalières sont convié·e·s au Bar à karaoké La Remise pour une soirée de clôture tout en couleurs où seront dévoilé·e·s les lauréat·e·s de la 8e édition, en présence des cinéastes et des membres du jury. Les films gagnants seront rediffusés le 28 janvier sur toutes les plateformes du festival.
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Et cette année encore, François vous proposera une couverture complète du festival en vous offrant un texte, chaque jour, traitant des 4 films au programme. Une série à ne pas manquer.
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