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24e Festival du Film de l’Outaouais | Programmation

Le 24e Festival du film de l’Outaouais se déroulera du 1er au 9 juin dans plusieurs salles de la région de l’Outaouais, soit au Cinéma 9, au Théâtre du Casino du lac Leamy, a l’UQO, à la salle de l’Estacade de Buckingham, à la salle Desjardins de Papineauville, à Rockland et dans le parc d’Aylmer.

Au total, ce sont plus de 80 projections provenant d’une trentaine de pays qui seront au programme pour cette édition placée sous la présidence d’honneur de Ginette Reno qui donnera, le 3 juin, une leçon de cinéma et assistera à la présentation spéciale de Léolo du regretté Jean-Claude Lauzon.

Les films

L’ouverture officielle se tiendra le 2 juin à 19h au Théâtre du Casino avec la projection du film Les femmes du square, comédie de Julien Rambaldi mettant en vedette Eye Haïdara, finaliste au César 2018 du meilleur espoir féminin pour Le sens de la fête.

Le samedi 3 juin au Théâtre du Casino, le festival présentera une soirée de gala avec la projection de la comédie Alibi.com 2 de Philippe Lacheau suivi d’une réception festive offerte par le FFO et l’ambassade d’Argentine au Canada.

LES CYCLADES - AFFICHE

Parmi les films marquants de la programmation, on peut noter : Alcarras – Nos soleils (Espagne/Italie), de Carla Simon, Ours d’or à Berlin, C’est moi Marlene Jobert (France), documentaire réalisé par Dominique Besnéhard – qui sera à Gatineau pour présenter son film, Ennio (Italie), documentaire de Giuseppe Tornatore sur le compositeur Ennio Morricone, L’Osstidquoi l’Osstidshow, (Canada), Documentaire du spectacle mythique de l’Osstidcho réalisé par Louis Philippe Eno, La vie me va bien (Maroc), d’Al Hadi Ulad Mohand, Le passé retrouvé (Nouvelle-Zélande), de Matthew Saville, Les Cyclades (France), de Marc Fitoussi, Les femmes du square (France), comédie de Julien Rambaldi, Mon crime (France), le plus récent film de François Ozon.

As bestas - affiche

À ces titres s’ajoutent des œuvres à ne pas manquer telles As Bestas (Espagne/France) de Rodrigo Sorogoyen, César du meilleur film étranger, Goya du meilleur film, Close (Belgique), de Lukas Dhont,  Grand prix du Festival de Cannes, finaliste pour finaliste pour l’Oscar® international. Aussi, Emily (Royaume-Uni/États-Unis) de Frances O’Connor, L’innocent (France) de Louis Garrel, La syndicaliste (France) de Jean Paul Salomé avec Isabelle Huppert, Le bleu du Caftan (France/Belgique/Danemark/Maroc) de Maryam Touzani, Le parfum vert (France), de Nicolas Pariser, Les pires (France), réalisé par Lise Akoka et Romane Gueret, Ramon Mercader sur les pas de celui qui a tué Trotsky (France), documentaire réalisé par Marie-France Brière – présente à la projection, Retour à Séoul (France/Cambodge), de Davy Chou, sélectionné à Un certain regard de Cannes, The last Bus (Royaume-Uni),de Giles MacKinnon, Tori et Lokita (Belgique), de Jean-Pierre et Luc Dardenne (Prix spécial du 75e Festival de Cannes). 

Chien blanc - affiche

Plusieurs projections de films québécois se tiendront dans les salles de l’Outaouais à savoir L’estacade de Buckingham (Chien blanc et Crépuscule pour un tueur), la salle Desjardins de Papineauville (La cordonnière, Frontières, Crépuscule pour un tueur, Le plongeur), la salle Optimiste de Clarence-Rockland (Le plongeur, Crépuscule pour un tueur, La cordonnière). L’UQO (Le plongeur, La cordonnière, Crépuscule pour un tueur, 23 décembre, Frontières, Babysitter, Falcon Lake). De plus, au Parc des cèdres d’Aylmer, des projections auront lieu en extérieur à la nuit tombante (Des larmes de métal suivi de Falcon Lake, Coco ferme, Mission meringue suivi de La cordonnière).

Le film de clôture présenté le 9 juin, en première mondiale, sera Cœur de slush de Mariloup Wolfe avec Liliane Skelly, Camille Felton, Joseph Delorey et Francois Létourneau.

Classes de maîtres

Marie Vien, scénariste des longs métrages Le temps d’un été de Louise Archambault, Arlette, de Mariloup Wolfe, 14 jours 12 nuits de Jean-Philippe Duval ou encore La passion d’Augustine de Léa Pool, s’adressera au public le 3 juin. 

FFO - Classes de maitres

Puis le lendemain, ce sera au tour d’Alain Béliveau (fils du célèbre animateur de la série mythique Surprise sur prise) et de François Bouvier (La cordonnière) de donner leur classe de maîtres.

De plus…

Une importante rétrospective de films québécois sera offerte au public, en plus de Nos couleurs autochtones, une sélection de courts métrages produits par le Wapikoni reflétant les principales préoccupations des jeunes des Premières Nations. Un coup de projecteur mettra en valeur des cinéastes de l’Outaouais tels Alexandre Carrière avec son court métrage Lilly, Étienne Adam avec Des larmes de métal, Mathis Vuillermain avec Mission meringue et Alexander Cruz avec Le genre qui tue.

Billets

Les billets sont en vente sur le site du FFO.

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