Le Petit Septième et Cinéfranco récidivent!
Après le succès de notre partenariat ayant permis d’offrir le film Fahim sur LPS-Live, il était normal que nos deux organisations se rencontrent à nouveau dans le cadre d’un partenariat de diffusion. Cette fois-ci, c’est dans le cadre du Mois de la francophonie que le projet se développe.
Chaque weekend du mois de mars, vous pourrez donc voir deux films sur LPS-Live. Nous avons travaillé fort (surtout Marcelle Lean, la directrice artistique de Cinéfranco) pour vous offrir de bons films, légers, mais intelligents… pour la plupart. 😉
Chaque film pourra être loué au prix de 5$. Il sera aussi possible de louer les deux films pour 7$. Il sera d’ailleurs possible de précommander vos films. Certains d’entre eux seront en prévente dès mercredi. Vous pourrez les retrouver sur LPS-Live.
Le premier weekend sera réservé au cinéma québécois. Après tout, Le Petit Septième est avant tout un média québécois.
Donc, du 4 mars à 18h, jusqu’au 6 mars à 22h, vous pourrez voir la version alternative du film Le miroir, de Marc Joly-Corcoran. Il s’agit d’un film qui sera diffusé en primeur. Toujours lors de ce premier weekend, nous vous offrons la comédie Maria, avec Marianna Mazza.
Ces deux films offrent un beau mélange des genres, avec un film dramatique et une comédie légère.
Voici les résumés des films, question de vous donner une petite idée :
Jean (Normand Daneau) n’a pas vu sa mère, Diane (Lise Roy), depuis les cinq dernières années, en raison d’un incident qu’il n’est pas prêt de vouloir lui pardonner. Alors qu’elle vient de se suicider en Belgique, Jean doit s’y rendre afin de récupérer les cendres et s’occuper de la succession. Chez sa mère, il fait la rencontre de Fabrice, le très jeune mari de Diane. Il rencontre également Juliana, une bonne amie de sa mère, et à qui cette dernière a confié son testament olographe. Jean apprend que sa mère lui lègue un miroir ancien d’une grande valeur. En faisant le tri dans les effets personnels de Diane, Jean développe une légère obsession pour ce miroir ancien qui serait lié à des événements troublants et charnières dans la vie de Jean lorsqu’il était enfant. À travers la quête du miroir, il découvrira également un secret longtemps caché par sa mère. Jean devra lui pardonner, mais également et surtout, s’en libérer…
Quand Maria pense être au fond du baril, elle découvre que ce baril-là a un double fond : pas de travail, pas d’argent, aucun accomplissement digne de mention et maintenant une mère mourante qui la supplie de faire quelque chose de sa vie avant son trépas! Elle n’a d’autre choix que de se reprendre en main et de se trouver une carrière… Mais qu’est-ce qu’elle peut faire avec un BAC en communication vieux de sept ans et aucune expérience de travail? Croyez-le ou non, elle peut devenir remplaçante dans une école secondaire! Ainsi, Maria, 30 ans, aussi responsable et stable qu’une ado de 14 ans, effectue un retour au secondaire dans le rôle de celle à qui elle lançait des morceaux d’effaces : la remplaçante. Profs trop blasés, ados rebelles, intimidés ou pas assez déniaisés, elle sera confrontée à la réalité des profs et des jeunes d’aujourd’hui et, qui sait, se découvrira peut-être une vocation.
Les weekends suivants, vous pourrez voir des films provenant ou traitant de la francophonie un peu partout sur la planète. Et plusieurs de ces longs métrages sont des premières canadiennes.
2 films seront annoncés plus tard, mais nous pouvons déjà vous présenter ces 4 films :
L’horizon (Émilie Carpentier) – France
Au cœur de sa banlieue lointaine où s’enlacent bitume et champs, Adja, 18 ans, brûle du désir de vivre intensément. Elle cherche sa voie entre sa meilleure amie influenceuse qui brille sur les réseaux sociaux et son footballeur de grand-frère qui sature tout l’espace de réussite familiale. L’inattendu que lui propose la ZAD (Zone À Défendre) installée à la limite de son quartier l’attire. S’y rapprochant d’Arthur, ami de lycée, elle y vit des journées intenses et décisives où le choix d’un monde plus durable lui retourne le cerveau tout autant qu’il l’amène à prendre des risques aux côtés de cette Génération Climat.
Tom Media (Tony Gatlif) – France
Tom Medina est envoyé par un juge pour enfant en Camargue, chez Ulysse, homme au grand cœur en phase avec la nature. Habité par des visions, fasciné par les taureaux et les chevaux, Tom y apprend le métier de gardian aux côtés d’Ulysse. Il ne vole plus, a soif de savoir et aspire à devenir quelqu’un d’autre. Révolté par l’hostilité qui ne change pas à son égard, il se bat contre son destin et croise la route de Suzanne… Une histoire pleine de force et d’espoir inspirée de la jeunesse de son auteur.
On est fait pour s’entendre (Pascal Elbé) – France
Antoine semble n’écouter rien ni personne : ses élèves (qui lui réclament plus d’attention), ses collègues (qui n’aiment pas son manque de concentration), ses amours (qui lui reprochent son manque d’empathie)… Et pour cause : Antoine est encore jeune, mais a perdu beaucoup d’audition. Sa nouvelle voisine Claire, venue s’installer temporairement chez sa sœur avec sa fille après la perte de son mari, rêve de calme et tranquillité. Pas d’un voisin aussi bruyant qu’Antoine, avec sa musique à fond et son réveil qui sonne sans fin. Et pourtant, Claire et Antoine sont faits pour s’entendre!
Tonton Manu (Patrick Puzenat et Thierry Dechilly) – France
Commencé à l’aube de ses quatre-vingts ans, achevé jour pour jour cinq ans plus tard, ce documentaire et portrait du musicien Manu Dibango, infatigable défenseur du mélange des cultures, nous entraine de Paris à Douala, de Kinshasa à Rio, de New-York à Saint Calais, petit village de la Sarthe où il a passé une partie de son enfance. Rythmé par les interventions de personnalités comme Yannick Noah ou black M, ce portrait sensible et pudique est parsemé de moments de grâce musicale où le grand Manu fait jaillir de son saxo des instants d’émotion pure.
Il nous restera à vous présenter les deux autres films dans les jours à venir! Il faut bien garder quelques surprises.
Pour louer les films, il suffit d’aller sur la page LPS-Live et de louer ou réserver votre film. Chaque film sera disponible pendant un weekend du mois, et présenté en ligne. Il y a une limite de billets disponible, donc n’attendez pas à la dernière minute pour réserver votre place.
Pour regarder le film, ce sera aussi directement sur LPS-Live, le weekend pour lequel vous avez loué votre film.
Bon cinéma et vive la francophonie!
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