Le festival de courts métrages en ligne Plein(s) Écran(s) est a dévoilé la programmation complète de sa 9e édition qui se tiendra du 23 janvier au 1er février 2025. Avec une sélection de 40 films, dont 36 présentés en ligne gratuitement partout au Canada, et des événements publics proposés à Montréal au Cinéma Beaubien, à la Cinémathèque québécoise, au Cinéma Moderne, à la Salle Jean-Claude-Lauzon de l’École des médias de l’UQAM et à L’inis, cette édition promet à nouveau de mettre de l’avant des créations courtes, résolument audacieuses.
Les cinéphiles de partout au Québec et ailleurs auront la chance de visionner quatre films par jour, disponibles pendant 24h sur le site du festival et ses réseaux sociaux. Choisis par un comité de sélection composé de Raquel Sancinetti (cinéaste), Pascale Drevillon (actrice et artiste multidisciplinaire) et Will Niava (cinéaste), sous la direction d’Ariane Roy-Poirier, les 24 films québécois en compétition officielle et les 8 autres courts d’ici de la section Impression(s) sont regroupés sous quatre thèmes qui définissent bien cette nouvelle édition : explosif, poignant, inquiétant et tendre. En résulte une programmation variée, spécialement conçue pour plaire à tous les publics et s’adapter à toute leur gamme d’émotions!
Présenté en ouverture de la 9e édition, Bail bail, un film explosif signé Sandrine Brodeur-Desrosiers (23 janvier), lancera les festivités sur ce thème clé de Plein(s) Écran(s).
Six autres films de la compétition officielle présentée sur Facebook proposent également des œuvres fougueuses qui se démarquent par leur style éclaté ou leur sujet incendiaire, soit À toi les oreilles d’Alexandre Isabelle (24 janvier), Lumen de Stéphanie Bélanger (25 janvier), Extras de Marc-Antoine Lemire (27 janvier), Été 2000 de Virginie Nolin et Laurence Olivier (28 janvier), Le petit panier à roulettes de Laurence Ly (29 janvier), Mon cœur de tomate de Benoît Le Rouzès Ménard (30 janvier) et L’artifice d’Isabelle Grignon-Francke (31 janvier).
Des courts métrages à l’intensité émotionnelle remarquable seront présentés aux festivaliers, qui auront la chance de s’émouvoir devant les magnifiques films d’animation Un trou dans la poitrine de Jean-Sébastien Hamel et Alexandra Myotte (23 janvier), ainsi que Géant Beaupré d’Alain Fournier (25 janvier).
Le public pourra également découvrir les touchants documentaires Clémence de Myriam Ben Saïd (27 janvier), Hello Stranger de Amélie Hardy (28 janvier), Juste un toit d’Emmanuel Rioux (29 janvier) et D’ici d’ailleurs de Chadi Bennani (30 janvier), de même que la fiction Les mains sales (Katshinau) de Julien G. Marcotte et Jani Bellefleur-Kaltush (31 janvier). Alors que ces films seront présentés en compétition officielle, le sensible Votre appel est important pour nous de Romy Boutin St-Pierre et Joe Nadeau (24 janvier) sera présenté en Impression(s), une section diffusée sur Instagram.
Avec leurs propositions particulièrement perturbantes, les films présentés en compétition officielle tels que Zug Island de Nicolas Lachapelle (23 janvier), L’été des chaleurs de Marie-Pier Dupuis (24 janvier), Unclean de Simon Chouinard (25 janvier), UWD de Brigitte Poupart et Myriam Verreault (28 janvier), Mothers & Monsters d’Edith Jorisch (30 janvier) ainsi que Someone’s Trying to Get In de Colin Nixon (31 janvier) donnent clairement le ton à cette troisième section.
Suggérant une expérience cinématographique où l’incertitude règne en maître, les films d’animations projetés dans le volet Impression(s), En surface d’Arash Akhgari (27 janvier) et Itch de Maggie Zeng (29 janvier), complètent cette mystérieuse catégorie.
Des films empreints de douceur et agréables à visionner sont réunis sous ce thème.
Les trois courts métrages présentés en compétition officielle, Audio y el Caimán de Andrés I. Estrada (24 janvier), Trois vagins qui crient d’Alexia Roc (27 janvier), ainsi que Chat mort de Danick Audet et Annie-Claude Caron (29 janvier) sauront bien réconforter leur public. De la même manière, Les fleurs sauvages de Rodolphe Saint-Gelais et Thierry Sirois (23 janvier), Stae de Justin Tran (25 janvier), The Lemonade Stand – Making Medecines de Paul O’Bomsawin (28 janvier), Caniculaire de Camille Pépin (30 janvier) et Au vent les songes bleus d’Emma Beyaert-Meisels (31 janvier), projetés en Impression(s) au sein de cette catégorie, présentent également des histoires attendrissantes.
Cette année, le Brussels Short Film Festival (BSFF) offre une carte blanche célébrant toute la beauté du cinéma belge avec une sélection de courts métrages créatifs, drôles et émouvants.
Le 26 janvier, le public pourra découvrir sur Facebook Alice et les soleils de Théo Degen et Charlotte Muller, Avec Thelma de Raphaël Balboni et Anne Sirot, ainsi que Si-G de Frederike Migom. Sur Instagram, c’est Voyage en amnésie d’Anouk Kilian-Debord qui sera offert.
Le 1er février, au terme de huit jours et 32 courts métrages québécois présentés en compétition, le public aura la chance de voter pour ses films favoris parmi les six œuvres qui ont reçu le plus d’interactions pendant le festival.
Dès 20h, les festivaliers et festivalières sont invités au Bar North Star (3908 Boul. Saint-Laurent, Montréal) pour une soirée à saveur de fête foraine en l’honneur du film de clôture L’artifice. Elle débutera par le dévoilement des films lauréats de la 9e édition, en présence des cinéastes et des membres du jury. Ensuite, au menu : pinball, photobooth et autres jeux ludiques pour se replonger tête première dans les meilleurs souvenirs d’adolescence. Cette soirée festive se poursuivra avec DJ André Bazin aux platines.
Billets pour les événements en vente sur le site de Plein(s) Écran(s).
Bande-annonce
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