A record number of canadian Indigenous films selected for the 2025 TIFF - Une

Un nombre record de films autochtones canadiens sélectionnés pour le TIFF 2025

Un nombre record de films autochtones provenant des quatre coins du Canada ont été sélectionnés pour le Festival international du film de Toronto (TIFF) 2025, qui célèbre cette année son 50e anniversaire. Le Bureau de l’écran autochtone (ISO) a investi un total combiné de 3,5 millions de dollars canadiens dans le développement et la production de huit longs métrages sélectionnés dans la programmation officielle de cette année, qui met en lumière une liste de voix émergentes talentueuses et de cinéastes autochtones établis et primés. Le TIFF se déroulera du 4 au 14 septembre 2025.

« En tant qu’entité dont l’unique but est de soutenir les voix et la vision autochtones, nous sommes extrêmement fiers de la délégation de cinéastes autochtones qui assistent au TIFF cette année, alors que le festival célèbre cet anniversaire marquant, » a déclaré Kerry Swanson, la PDG de l’ISO. « Ces films, qui s’étendent à toutes les catégories de la programmation du TIFF, sont un reflet puissant du talent, de la vision et de la narration autochtones, et de l’impact de l’ISO. Le Fonds Histoires de l’ISO a apporté son soutien à l’ensemble des huit longs métrages autochtones canadiens du TIFF et nous avons hâte de célébrer ces nouvelles œuvres avec le public du festival. »

Films autochtones canadiens confirmés

  • Ni-Naadamaadiz: Red Power Rising de Shane Belcourt et Tanya Talaga – Première mondiale, TIFF Docs – Bien qu’elle ait duré 90 jours en 1974, il n’existe que huit minutes de métrage sur une occupation armée menée par des jeunes autochtones à Kenora, en Ontario. Le documentaire Ni-Naadamaadiz: Red Power Rising raconte cette histoire de résilience et de pouvoir autochtones.
  • Sk+te’kmujue’katik (At the Place of Ghosts) de Bretten Hannam – Première mondiale, Platform – Ce drame surnaturel qui mélange les genres suit le périple de deux frères pour venger les esprits qui les hantent depuis leur enfance.
  • Meadowlarks de Tasha Hubbard – Première mondiale, Special Presentations – Basé sur son documentaire de 2017 Birth of a Family, Meadowlarks est un drame émouvant qui suit quatre frères et sœurs, séparés par la rafle des années soixante, alors qu’ils se retrouvent le temps d’une semaine.
  • Uiksaringitara (Wrong Husband) de Zacharias Kunuk – Première nord-américaine, Special Presentations – Une mort étrange, des bouleversements dans un village et une nuée de prétendants mènent à une histoire d’amour qui tourne mal dans la dernière réinterprétation fascinante d’anciennes histoires inuites par le célèbre cinéaste inuk Zacharias Kunuk.
  • Blood Lines de Gail Maurice – Première mondiale, Centrepiece – Le deuxième long métrage de la réalisatrice Gail Maurice (ROSIE, TIFF ’22) est un film unique: une romance gai métisse menée par l’acteur Dana Solomon, qui est une révélation.
  • Aki de Darlene Naponse – Première mondiale, TIFF Docs – Situé à Atikameksheng Anishnawbek (anciennement Whitefish Lake), ce documentaire d’art visuel suit les saisons dans la communauté d’origine de la réalisatrice Darlene Naponse dans le Nord de l’Ontario.
  • Nika & Madison d’Eva Thomas – Première mondiale, Discovery – Une rencontre fatidique avec la police pousse deux amies éloignées à réévaluer leur relation, dans le premier long métrage réfléchi et urgent d’Eva Thomas.
  • Levers de Rhayne Vermette – Première mondiale, Wavelengths – Dans la suite énigmatique et très attendue de son film primé Ste. Anne, la cinéaste et artiste manitobaine Rhayne Vermette tisse l’histoire d’une communauté qui doit faire face à un sentiment de stabilité ébranlé après qu’une explosion l’ait plongée dans une journée d’obscurité totale.

Le Bureau de l’écran autochtone continue de défendre la narration autochtone à travers le cinéma, la télévision et les médias numériques, s’assurant que les créateurs autochtones ont les ressources, la visibilité et les plateformes nécessaires pour partager leurs histoires avec un public mondial.

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