Hier, jeudi 2 mai 2024, avait lieu le cocktail d’ouverture du 29e festival Accès Asie. Je dois avouer qu’il s’agit maintenant d’un événement que j’attends chaque année. C’est toujours un grand plaisir d’y être.
Cette année, c’est en compagnie de mon collègue Samuël que j’y étais. Fidèle à mes habitudes, j’y étais parmi les premiers, dès l’ouverture des portes, afin de pouvoir jaser autant que possible avec les différentes personnes sur place.
Un de mes petits plaisirs coupables lors de cette soirée, c’est de m’amuser au photobooth. Je crois que Samuël a beaucoup aimé aussi lol.
Nous avons donc pris quelques minutes pour prendre quelques photos. Après tout, un cocktail, c’est aussi pour s’amuser, non? Il s’est donc pris en photo en premier, puis ce fut mon tour, et finalement nous en avons pris ensemble. Bon… Peut-être qu’on aime trop ça se prendre en photo. ;-).
Ça ressemble à ceci (désolé notre photo en duo n’a malheureusement pas fonctionnée) :
Après notre petite séance photo, nous sommes allés à la rencontre des gens, puis il y a eu les discours et les prestations.
Vient le moment des discours d’ouvertures. Les directrices du festival, puis les commanditaires principaux. Là, je dois féliciter tout ce beau monde pour avoir gardé le tout plutôt concis. C’est souvent le moment le plus ennuyant de ce genre d’événement. Mais cette fois-ci, je dois féliciter chaque intervenant pour avoir gardé ça concis.
Ensuite nous avons eu la prestation d’Amrita Choudhury et Barbara Kaneratonni Diabo. Je dois dire que ce fut quelque peu décevant. La musique était trop forte, ce qui créait une distorsion, et les danses ne me touchaient pas du tout. Peut-être que c’était le fait d’avoir deux danses traditionnelles en alternance qui rendait le show un peu inégal.
Mais la foule semble avoir bien aimé, ce qui reste un bon signe. Pour ceux qui se demandent ce qu’était le spectacle, voici la description officielle :
La chorégraphe originaire de l’Inde Amrita Choudhury et l’artiste de danse Kanien’kehá:ka (Mohawk) Barbara Kaneratonni Diabo se réuniront pour célébrer le lancement du festival à travers un rituel sacré, suivi de mouvements de l’Odissi classique indien, d’une performance de danse libre du châle d’apparat (une danse autochtone de pow-wow) et des rythmes du Bollywood folk. Le DJ Ziad Nawfal fera ensuite danser le public par ses vibrantes sonorités moyen-orientales.
Après les prestations, nous avons pris quelques verres tout en faisant de très belles rencontres.
J’en profite pour remercier l’équipe du festival pour une autre belle soirée.
J’attends avec impatience Sapio viliata o le atumotu et d’autres récits incarnés du vivant, de Léuli Eshrāghi, le 9 mai. Et, bien évidemment, je vous en parlerai.
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